29 novembre 2005

Début de droit de réponse préventif

Edit important : Heidi se fait profiler chez Olivier Gochet, allez y vite, y'en aura pour tout le monde.

Comme vous n'êtes pas sans le savoir, j'ai l'immense honneur de travailler à la mise en action de vos neurones avec Heidi sur le Jediblog (que je vous encourage fortement à visiter d'ailleurs)
Pour coordoner nos méthodes de travail , j'ai envoyé Pedro, jeune stagiaire brésilien dans les locaux D'indulgence & Dérision, d'où il a ramené ces quelques informations
(et d'autres que je tiens en réserve pour plus tard)



(hors sujet : Le concours d'histoires générées bat son plein avec un nombre faramineux de deux concurrents, n'hésitez pas à participer)

28 novembre 2005

Nouvelle venue

l'équipe du blog a l'immense honneur de vous présenter Miss Marple, nouvelle arrivante stagiaire.





Cette arrivée devrait nous valoir soit des histoires tout à fait bloggables, ou un très bon civet dans le cas contraire.

Le concours d'histoires générées est toujours en cours.
Petit Rappel pour les absents :
vous cliquouillez ici : http://www.unpeudamour.com
ou là, c'est au choix : http://www.pourtoi.biz

Vous choisissez votre histoire, vous remplissez les cases pour que ce soit rigolo, et vous envoyez le résultat par mail à jsonrel[@]gmail.com (ou par foulque macroule voyageuse, comme vous préférez).
L'histoire la plus drôle remporte deux merveilleux prix, d'une valeur totalement inestimable.



edit : du nouveau sur le jediblog

24 novembre 2005

21 novembre 2005

Concours

Aujourd'hui lancement d'un grand concours d'histoires générées.
Cliquez sur juste en dessous ou sur Zinédine Zidane, remplissez les informations, générez votre histoire et envoyez le résultat par mail.
juste en dessous
Zinedine Zidane

Le vainqueur désigné par un jury d'experts, gagnera une carte postale moche signée de la main de Flippy et un Albert peint presque à la main avec ArtRage.

exemple de zinedine Zidane:

Rocco Siffredi et Alexander Freï

Qui est Rocco Siffredi? C'est le beau cheval qu'Alexander Freï a aimé et soigné dans sa tendre enfance. Le pauvre cheval avait beaucoup travaillé et il commençait à se faire lent. Albert de Monaco, le propriétaire, a dû vendre cette belle bête. Toute la parenté et les voisins de la paroisse étaient peinés de ne plus voir Rocco Siffredi.

Pour Alexander Freï, aucun autre cheval n'a pu combler le vide laissé par l'absence de Rocco Siffredi. Qui maintenant pourrait recevoir les confidences de l'enfant ? Jamais Alexander Freï et son ami Jean-pierre François n'ont eu le privilège de monter et de conduire Séverine Ferrer, la remplaçante de Rocco Siffredi.

« Séverine Ferrer est trop fringante», disait papa Albert de Monaco. Alexander Freï se consolait en disant: « Quand je serai grand, j'élèverai de nombreux gentils poneys et j'inviterai tous les enfants dans mon ranch. »

Alexander Freï a grandi, mais il n'a jamais eu de ranch. Il enseignait dans les écoles et, en souvenir de Rocco Siffredi, fréquentait quelques sites équestres.

Un jour, elle choisit le ranch des Montagnards pour initier ses groupes d'élèves au plaisir de l'équitation. Chose curieuse, un beau cheval blanc et très âgé, ressemblant étrangement à Rocco Siffredi, quitte alors son pâturage et se dirige tout droit vers Alexander Freï. De la clôture, Alexander Freï crie spontanément: « Le vrai Rocco Siffredi! ». Tous les regards se tournent vers l'enseignant qui interroge des yeux le propriétaire du ranch.

« Avant, c'était son nom, dit M. Grégoire. Ici, on le nomme Albert de Monaco, en l'honneur du fermier qui s'en est séparé avec tellement de regret. On a dressé ce cheval pour des personnes handicapées. C'est aussi toujours lui qu'on offre aux enfants qui craignent de monter à cheval pour la première fois. »

Alexander Freï, visiblement ému, passe la main dans la belle crinière du cheval et essuie discrètement une larme.


exemple de Juste en dessous :

Les Aventures De La Belette
par Le Frère De Zinedine Zidane


Les cheminées fumantes enveloppaient Melun d'une brume artificielle, et firent
tousser Alexander Frei. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en
plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Apercevant la photographie d'un
palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de
celle qu'il rejoignait. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la
porte.

Timidement, il frappa trois petits coups. Comme rien ne se passait, il allait
insister lorsque la porte s'ouvrit sur Yvette Horner. Elle était plus
translucide que jamais, et gratifia Alexander Frei de ce sourire si magique dont
elle avait le secret.
- Entre, lui dit-elle.
Alexander Frei la suivit jusqu'au salon.
- Assieds-toi, fit Yvette Horner.
Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise. Puis il fixa
Yvette Horner. Celle-ci était debout près de lui. Lui tremblait d'émotion. Elle,
ne disait rien. Il se leva, s'approcha d'elle.
- Yvette Horner...
Elle détourna la tête.
- Yvette Horner, répéta-t-il.
Alors elle le regarda. Au moment où leurs regards se croisaient, leurs lèvres
se touchèrent.
- Euh... bredouilla Alexander Frei.
Mais les mots ne venaient pas... alors Yvette Horner passa sa main derrière la
nuque de son ami, et l'embrassa. Cela dura une éternité. C'était la première
fois qu'ils ressentaient une telle émotion, et ils ne s'arrêtaient plus.
Puis lorsque les premières étoiles scintillèrent dans leurs yeux épuisés, leurs
lèvres se quittèrent. Comme deux plongeurs en apnée, ils reprirent leur souffle
en même temps que leurs émotions.
Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Yvette Horner poussa un soupir qui résonna
dans la pièce comme une brise sur l'océan. Alexander Frei en profita pour
articuler, le coeur battant:
- Je t'aime.
Son amie le regarda.
- C'est vrai?
- Depuis toutes ces années que nous nous connaissons, bien que j'aie eu
d'autres aventures avant de te connaître, je t'aime cent fois plus que toutes
les autres femmes réunies.
- Il en est de même pour moi, mon chéri, déclara Yvette Horner. Personne ne
pourra remplacer ton si gauche sourire. Tu es unique, grâce à plein de petites
choses. Personne n'a ta démarche, Personne n'a tes cheveux. Personne n'imite
aussi bien que toi le cri du pélican. Personne ne connait l'histoire de Melun
aussi bien que toi. Personne à part toi ne m'a jamais dit que j'étais
concupiscente. Bref, personne à part toi ne mérite d'être dans mon coeur.
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Yvette Horner pour saisir le bras de Alexander Frei
et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois
l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs
souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles
des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme
un tableau de Jean-Claude Van Damme, ou comme ''La Traviata'' de Nicola Sirkis.
Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les
épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace
de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient,
Alexander Frei ferma les yeux et eut l'impression de soudoyer en haut d'un
pétunia. Et soudain tout s'arrêta.
- Je ressens les mêmes choses qu'à notre mariage, dit Yvette Horner.
- C'est étrange, moi aussi! Sourit Alexander Frei.
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux.
Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Alexander Frei.
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop gauchiste pour que je te quitte,
répondait Yvette Horner. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux
bien plus que ce rustre de Hugues Aufray. Je ne sais pas comment j'ai fait pour
lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.

Ils s'embrassèrent pendant des heures. Des jours. Des années. Si d'aventure
vous ne croyez plus à l'amour, sachez qu'en ce moment même ils s'embrassent
quelque part.


et en cadeau Bonus une photo d'Alexander Freï, le frère maudit de Hugo Freï ( (c) Flippy)

15 novembre 2005

Nouveauté (2)



Clique là et prépare tes neurones.

Et puis parce que A n g e l m'a fait super envie avec son oeil en coin j'ai décidé à l'unanimité de moi-même, de lancer un photoblog. Vous n'y trouverez aucune photo de Gerard Majax, ni de foulque Macroule (quoique), et ça se passe là : http://in-photoblog-we-trust.blogspot.com
Merci de votre attention.

09 novembre 2005

Signé FuruX, énigme 6

furuxico1   Tu débarques ? Tu veux savoir c'est quoi le jeu ? Clique sur l'image.



Voici la sixième et dernière énigme.





Courage, c'est la dernière et elle est pas trop difficile (Heidi l'a résolue en 10 minutes avec une migraine et une tasse de café)



(vous pouvez essayer de cliquer sur l'image pour la voir en plus grand, mais il y a peu de chances que cela fonctionne)
(edit : Bon si en fait vous pouvez cliquer maintenant)

05 novembre 2005

Signé FuruX, énigme 4

furuxico1   Tu débarques ? Tu veux savoir c'est quoi le jeu ? Clique sur l'image.



Voici la quatrième énigme.


(si vous ne trouvez pas , vous pourrez vous en prendre physiquement à C4l1m3r0, en lui jetant des cannettes de bières vides par exemple.)

03 novembre 2005

Les grandes inventions

Pour inaugurer la série de "l'histoire le sport,la culture et les moules marinières selon les après midi MSN de Ka-Ly` et Flippy", ajourd'hui, le salon du livre.

René Gutenberg inventa le livre un mercredi après midi, alors qu'il s'ennuyait en regardant un spectacle de troubadours nains.
Il est important de noter que cette invention suivit directement celle du gratin dauphinois qui eu lieu le mardi précédent, mais aucun historien n'a pu lier ces deux événements.
Au début les copains de René Gutenberg se marrèrent et trouvèrent cette idée farfelue voir dangereuse puisque susceptible de créer du chômage chez les moines copieurs et ainsi de générer un taux de croissance plus faible en cette année 1456, déjà marquée par le repli des exportations de cassoulet vers le moyen orient.

Dans le même temps, non loin de là (35 minutes à vol d'oiseau, 2 heures en calèche si le périphérique Nord est fluide), François Ikea inventait le salon.
Au début, ça faisait marrer ses copains qui trouvaient qu'un igloo, ça allait tout aussi bien.

Un jour, ou peut être une nuit, près d'un lac où ils s'étaient endormis, (ou dans un bar sordide de Maubeuge, on ne sait pas trop) Ikea et Gutenberg se rencontrèrent et décidèrent de s'unir afin de créer le salon du livre.

A cette époque, les gens ne sachant pas trop bien lire, l’idée fut très mal accueillie.
Lorsqu'ils se promenaient dans la rue René et François recevaient des noms d'oiseaux tels que « Canard siffleur », «Foulque macroule » ou encore « Choucas des tours ».
François Ikea dut alors se réfugier en Suède pendant quelques mois durant lesquels il inventa la notice de montage illisible et le meuble en kit.
René Gutenberg s'enfuit à Strasbourg, ce qui n'est pas beaucoup plus reluisant.

C'est alors qu'un événement presque aussi inattendu qu'un coup de fourchette dans l'œil se produisit.
Un ami de François Ikea, jean Charles Magne inventa l'école.
Dès lors, les gens apprirent à accorder le complément d'objet direct si il est précédé du verbe avoir et à mettre un seul n à inattendu.
Très rapidement, ils purent se plonger dans les aventures du célèbre cuisinier Henry Potier qui publia le premier livre de cuisine en 1457, intitulé, "Bien accorder le vin avec la multiplication des pains" ainsi que dans la lecture des Skyblogs.

C'est pour fêter le non anniversaire de son invention qu'un salon du livre se tiendra du 10 au 13 Novembre à Tavannes en pays helvétique.
(Prendre la première sortie et tourner à gauche après la boulangerie "Chez Michel")

Et vous pouvez toujours aller voir les photos de Barcelone ici

02 novembre 2005

Barcelone



Clique sur la personne âgée ou le camion de l'enfant pour voir une photo de Gaudi nu

Si pour des raisons religieuses ou déontologiques vous ne souhaitez pas cliquer sur une personne âgée ou un enfant, vous pouvez devez cliquer ici

Toutefois, si vous possédez une 103 XP avec un pot Ninja et que une fois à une boum vous avez bu un panaché et que vous vous êtes couché super tard, vers 22h30, cliquez plutôt ici.

01 novembre 2005

Signé Furux : énigme 2

furuxico1   Tu débarques ? Tu veux savoir c'est quoi le jeu ? Clique sur l'image.



Voici la deuxième énigme.


(plus facile pour reposer vos neurones fatigués)

Notez cet indice soigneusement et gardez le au chaud en attendant l'énigme suivante (comme le premier indice, sauf que là c'est le deuxième, enfin pas vraiment, mais bon vous verrez bien à la fin :p).





Cliquez sur Raoul pour accéder à l'énigme.

(Si vous avez des question n'hésitez pas à les poser dans les commentaires, je me ferais un plaisir d'y répondre le plus rapidement possible)